La fille à l’opéra

La fille à l’opéraest le fruit de la rencontre de deux cultures différentes.Une jeune Argentine, obsédée par le théatre musical, visite le salon de thé Yuelai et est fascinée par l’art ancien de l’opéra du Sichuan. à travers ses nombreuses visites dans ce lieu traditionnel, elle apprend non seulement à conna?tre les routines des artistes de l’opéra, mais aussi celles des clients du salon de thé Yuelai, symbole du style de vie tranquille de Chengdu. Cependant, la fille du titre n’est pas cette jeune Argentine, mais un petit enfant - la fille de deux artistes de l’opéra - dont la présence suscitera chez le public étranger quelques questions sur son amour du théatre musical et sur la manière dont les arts traditionnels peuvent être transmis à de jeunes générations.

Au-delà

Les ponts sont des lignes figuratives et physiques qui relient les deux c?tés d’un même monde. Les ponts,en tant qu’objets vivants et humanisés, ont une ame. à quoi ressemble le monde de leur point de vue ? Quelles histoires peuvent-ils nous raconter sur nous-mêmes,les humains ? C’est un voyage porté par un regard neuf sur les lieux et les personnes qui nous entourent au quotidien. écoutez de plus près ce que disent les ponts, regardez les connexions qu’ils établissent. Vous pourriez découvrir une toute nouvelle perspective sur la vie elle-même et vous serez surpris de sympathiser avec eux.

Dans la coquille

Ce documentaire parle de la belle ville de Zhuhai et de ses différentes mélodies urbaines. à travers le personnage principal,une fille qui en est originaire et qui travaille au Grand Opéra de Zhuhai, le spectateur découvre l’histoire de cette cité. L’autre personnage est un jeune DJ, également né à Zhuhai et qui fait de la musique moderne. Le film commence avec l’histoire de ces deux personnes, mais à la fin de la projection,nous comprenons que celles-ci représentent en réalité la voix de Zhuhai.

Un moment précis

La Chine est l’un des plus grands pays,et le pays le plus peuplé du monde, et Chengdu est l’une de ses plus grandes villes.Un moment préciss’articule autour de la question de savoir comment préserver l’échelle humaine dans ce contexte.Au c?ur même du bruit, de la précipitation et du béton, deux espaces différents, distants de quelques mètres seulement, offrent une oasis de paix, de tranquillité et d’introspection aux habitants et aux visiteurs de Chengdu. Possédant chacun une approche différente mais complémentaire, le monastère Taikoo Li et la librairie Fangsuo sont des lieux qui contribuent à maintenir l’équilibre de la ville et son lien traditionnel avec un mode de vie paisible.