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        énergies naturelles

        2016-12-14 06:54:28LacooprationsinoafricaineenmatirenergiesrenouvelablespeutaccrerindustrialisationvertedeAfriqueparLiuJian
        中國與非洲(法文版) 2016年12期

        La coopération sino-africaine en matière d’énergies renouvelables peut accélérer l’industrialisation verte de l’Afrique par Liu Jian

        éNERGIES VERTES

        énergies naturelles

        La coopération sino-africaine en matière d’énergies renouvelables peut accélérer l’industrialisation verte de l’Afrique par Liu Jian

        Actuellement, nous travaillons sur la planification systématique de la construction des centrales et réseaux électriques en Afrique, de manière à mieux répondre aux besoins énergétiques visibles dans les grandes villes, les villages et les zones industrielles.

        Shi Dinghuan, président de la Société chinoise des énergies renouvelables et ancien conseiller au Conseil des Affaires d’état

        SELON l’Agence internationale de l’énergie (AIE), en 2015, plus de 635 millions de personnes vivaient sans électricité en Afrique sub-saharienne, notamment dans les zones rurales. La Chine comprenant l’urgence de mettre en valeur les vastes ressources naturelles du continent noir, ces statistiques éloquentes ne sont pas passées inaper?ues. Shi Dinghuan, président de la Société chinoise des énergies renouvelables et ancien conseiller au Conseil des Affaires d’état, a récemment proposé de mettre en place l’Alliance sino-africaine pour l’industrie des énergies renouveiabies (Asaier), afin de réunir et d’intégrer dans ce secteur les technologies, les produits, les solutions et les capitaux chinois. Une idée qui voit le jour en 2011, lorsqu’il assiste à la 17eConférence des parties de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, qui s’est tenue à Durban, en Afrique du Sud. L’expert comprend alors que les pays africains veulent tirer profit de i’expérience chinoise en matière d’énergies renouvelables. Il en est persuadé, la coopération Chine-Afrique dans le secteur des énergies propres a un avenir prometteur.

        Priorité à l’énergie

        ? La stabilité de l’approvisionnement en énergie est cruciale pour la croissance économique. C’est en particulier le cas pour la région sub-saharienne, où le manque d’énergies conduit à une faible croissance et à i’inefficacité ?, expiique Shi à CHINAFRIQUE. ? Par ailleurs, une capacité accrue de production d’électricité peut faciliter l’industrialisation et renforcer le secteur des services, tout en améliorant le quotidien de la population. ?

        Selon la Carte mondiale du soleil (World Sunshine Map, en anglais), le temps d’ensoleillement annuel en Afrique dépasse celui de tout autre continent. Cependant, le ? continent du soleil ? continue de jouer un r?le de second plan dans l’exploitation des énergies renouvelables. Ce phénomène s’explique principalement par le manque de technologies, de financement et de compétences nécessaires au développement des projets en matière d’énergies propres.

        Quelles solutions ?

        Pour la période 2010-2020, la Chine sera responsable pour 30 % des nouvelles capacités électriques de l’Afrique sub-saharienne, où se sont largement répandus les nouveaux projets énergétiques confiés aux opérateurs chinois. Plus de la moitié de ces projets développent des énergies renouvelables, surtout l’hydroélectricité, selon une estimation de l’AIE. Dans son rapport publié en juillet 2016, Promouvoir le secteur énergétique en Afrique subsaharienne : l’engagement de la Chine, l’AIE précise que les nouveaux projets construits par la Chine contribuent à la diversification du bouquet énergétique sub-saharien et à l’accélération du développement des énergies renouvelables dans la région.

        Pour le moment, les paysd’Afrique, par manque de financement et de personnei quaiifié, ne sont pas capabies de conduire des recherches ou d’exploiter à grande échelle les énergies renouvelables, comme le fait la Chine. Toutefois, l’Afrique peut coopérer avec des pays dotés des technologies nécessaires. Dans cette optique, plus de 40 entreprises et organisations chinoises projettent de se joindre à l’Asaier, y compris des entreprises publiques chinoises comme la société State Grid Corp. of China. ? Actuellement, nous travaillons sur ia pianification systématique de ia construction des centrales et réseaux électriques en Afrique, de manière à mieux répondre aux besoins énergétiques visibles dans les grandes villes, les villages et les zones industrielles ?, explique Shi, soulignant également l’importance du développement des systèmes solaires décentralisés et à usage domestique, ainsi que des systèmes de micro-réseaux électriques en Afrique, plus adaptés aux zones rurales reculées.

        Shi Dinghuan, président de la Société chinoise des énergies renouvelables.

        Transfert de technologie

        Avec le soutien du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud), la Chine participe avec certains pays africains, comme le Ghana et la Zambie, à un projet de coopération pour le transfert de technologies en matière d’énergies renouvelables, le China-Africa South-South Cooperation on Renewable Energy Technology Transfer Project, en anglais. Le principal objectif de cette coopération est de faciiiter i’éiectrification des coiiectivités hors réseau de distribution. ? De nombreuses technologies chinoises, si elles sont transférées et employées de manière appropriée, pourront accro?tre l’accès à l’électricité dans les zones ruraies ?, affirme Shi.

        Pour faciliter le processus, un centre de transfert de technologies en matière d’énergies renouvelables a été ouvert début 2015 en Chine, afin de renseigner les pays africains sur l’industrie, les technologies et les perspectives d’avenir des énergies renouvelables à l’échelle mondiale, et de les aider à ma?triser progressivement ces technologies pour leur permettre de devenir de plus en plus auto-suffisants. En octobre, des experts zambiens et ghanéens ont été invités en Chine pour observer et tirer profit de i’expérience chinoise. Les spécialistes chinois tentent, de leur c?té, de trouver des moyens efficaces pour transférer ieur savoir-faire.

        Sources de financement

        D’après le rapport de l’AIE, le montant des investissements chinois dans les projets énergétiques subsahariens s’est élevé à quelque 13 milliards de doliars entre 2010 et 2015. Une somme financée à près de 80 % par des prêts publics chinois, principalement accordés par la Banque d’import-export de Chine. Cette banque publique chinoise spécialisée dans ie commerce extérieur assure ie financement à plus de 60 % des projets chinois à l’étranger.

        De leur c?té, les banques de commerce, notamment la Banque industrielle et commerciale de Chine (BICC), jouent un r?le de plus en plus actif dans ie soutien financier des projets énergétiques en Afrique. En avril 2013, la BICC et le groupe bancaire sud-africain Standard Bank se sont entendus pour octroyer 20 milliards de rands (2,2 milliards de dollars) de prêts aux projets d’énergies renouvelables en Afrique du Sud. Selon Jiang Jianqing, président de la BICC quand le partenariat a été conclu, cette coopération vise à faciliter l’entrée des investissements dans le marché sud-africain.

        Shi espère également que l’Asaier mènera à la création d’une piate-forme financière destinée au financement des projets chinois d’investissement en matière d’énergies renouvelables en Afrique, réunissant les banques chinoises, le secteur privé et les organisations internationales.

        Renforcement des capacités

        En pius du transfert de technoiogies et du financement, la formation est aussi essentielle pour le développement des énergies renouvelables en Afrique, explique Shi. En 2015, les investisseurs chinois et kényans ont mis en place un centre de transfert de technologies et de formation dans un parc industriel de Nairobi. Ce centre vise non seulement à former les techniciens locaux mais aussi à établir une usine d’assemblage pour les systèmes d’éclairage solaire.

        La formation à court terme, destinée aux responsables gouvernementaux et techniciens africains, est aussi proposée en Chine. L’Université d’énergie électrique du nord de la Chine a ainsi par exemple organisé une formation d’un mois pour des fonctionnaires originaires de huit pays francophones d’Afrique en juin 2015, financée par le ministère chinois du Commerce. La promotion du renforcement des capacités fait partie des missions importantes de l’Asaier, insiste Shi, ajoutant que certaines universités et institutions de recherche chinoises comptent se joindre à l’alliance. CA

        Pour vos commentaires : liujian@chinafrica.cn

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