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        La voix chinoise

        2015-11-09 03:26:54LiXiaoyu
        中國與非洲(法文版) 2015年9期

        La voix chinoise

        un professionnel des médias chinois poursuit son rêve au Botswana par Li Xiaoyu

        LE 29 mai 2009 à Gaborone, la capitale du

        Botswana, le premier hebdomadaire en langue chinoise,The Oriental Post, a vu le jour. Le fondateur de ce journal,Miles Nan, n'est pas un professionnel des médias.

        ?gé de 45 ans, M. Nan s'est installé au Botswana en 1998 pour créer sa propre entreprise. Aujourd'hui, il est PDG de Mileage (Pty) Ltd, une société engagée dans plusieurs domaines, y compris des projets de construction,d'industrie minière et d'investissements. Pourtant, bien qu'il n'ait pas re?u de formation professionnelle en communication, il s'estime doué pour la presse, parce qu'il voue, affirme-t-il, une passion et un rêve pour les médias et qu'il a un sens des responsabilités sociales.

        Des débuts difficiles

        à peine arrivé à Gaborone en 1998, M. Nan a essayé de publier un journal en chinois pour l'Association des Chinois d'outre-mer au Botswana.

        Faute d'expérience et de matériel, il était obligé d'écrire et traduire lui-même des nouvelles et des articles de loi locaux en chinois avant de les éditer,imprimer, photocopier et relier. C'est ainsi qu'il diffusait à titre gratuit 500 exemplaires par jour aux Chinois locaux dans les endroits fréquentés par ces derniers, comme les magasins et le consulat.

        J'espère que ce journal pourra devenir à la fois un pont reliant les Chinois d'outre-mer à leur pays natal et au reste du monde, et une fenêtre ouverte sur la société locale.

        Miles Nan, Fondateur du premier hebdomadaire en chinois au Botswana, The Oriental Post

        Malgré ses talents d'entrepreneur, M. Nan n'a jamais pensé gagner de l'argent en publiant des journaux :jusqu'à présent, The Oriental Post se diffuse encore gratuitement au sein de la communauté chinoise en Afrique. Pour quelle raison s'est-il alors décidé à poursuivre ce chemin ?

        Selon les statistiques, une dizaine de milliers de Chinois vivent au Botswana. Attirés dans un premier temps par le boom immobilier des années 1990, cette communauté a su diversifier ses activités en passant de la construction aux négoces de proximité. Or à l'époque,peu d'entre eux savaient lire l'anglais. Peu familiers des us et coutumes et des règlements et lois locaux, ils avaient du mal à s'intégrer dans la société botswanaise.

        ? En fait, les Chinois voulaient obéir aux règlements et loi locaux, mais malheureusement, ils ne les connaissaient pas très bien ?, indique M. Nan. ? ll est donc injuste que le gouvernement botswanais les pointe du doigt dès qu'il rencontre des problèmes dans la gestion de cette communauté. ?

        Souhaitant par ailleurs que les Chinois puissent se tenir au courant des nouvelles de leur patrie, M. Nan a décidé qu'il était grand temps que la communauté chinoise ait son propre journal. ? J'espère que ce journal pourra devenir à la fois un pont reliant les Chinois d'outre-mer à leur pays natal et au reste du monde, et une fenêtre ouverte sur la société locale ?, explique M. Nan à CHINAFRIQUE.

        La puissance d'un rêve

        Cette ? brochure ? en noir et blanc a eu un grand retentissement dans l'ensemble de la communauté chinoise,devenant une véritable plate-forme pour conna?tre la société locale. En 2009, après dix ans d'efforts, M. Nan s'est enfin décidé à fonder une agence professionnelle pour publier officiellement The Oriental Post. Pourtant, cela signifie que M. Nan doit faire face à davantage de défis.

        Premièrement, il rencontre un problème de recrutement. Selon lui,d'une part, le nombre limité d'étudiants chinois en Afrique laisse peu de marge aux médias chinois locaux en matière de recrutement. D'autre part,le durcissement de la politique de visas par certains pays africains empêche le recrutement des travailleurs en Chine.

        Le financement est un autre cassetête. Avec le co?t élevé des ressources humaines et la faiblesse des recettes provenant de la publicité, le journal est toujours en déficit et M. Nan doit injecter continuellement des fonds issus de son propre business pour maintenir le fonctionnement normal du journal.

        ? Si j'ai pu résister aux épreuves de toute sorte et poursuivre mon chemin, c'est que je rêve depuis longtemps de publier un jour mon journal dans tous les coins du continent noir ?, s'exclame M. Nan.

        Miles nan et le chef Mukuni

        Miles nan mesure un orphelin africain

        peines et joies

        Ses efforts ont porté leurs fruits. Six ans après son inauguration, The Oriental Post s'est hissé au rang des principaux médias du Botswana. ll dispose aujourd'hui d'équipes éditoriales non seulement au Botswana mais aussi en Zambie et en Tanzanie, et l'hebdomadaire est publié dans d'autres pays de l'Afrique de l'Est et du Sud,atteignant au moins 200 000 lecteurs chinois.

        Seretse Khama, président du Botswana,rencontre Miles nan

        Son développement fulgurant a en outre attiré l'attention du gouvernement local. Lors de grands événements, les journalistes de The Oriental Post sont invités à diffuser des informations importantes pour la communauté chinoise. Cela a grandement contribué à faciliter les relations avec les autorités locales. à l'occasion du 5eanniversaire de la fondation du journal,Jeff Ramsay, porte-parole du gouvernement botswanais,a affirmé l'importance de The Oriental Post en indiquant que celui-ci avait servi de médiateur à la coopération sino-botswanaise.

        En parallèle, en tant que président de la Fondation de bienfaisance des Chinois d'outre-mer au Botswana,M. Nan a incité ceux-ci à s'engager dans la cause de la charité locale à travers la plate-forme du journal, de sorte qu'ils puissent mieux servir la société locale et se faire comprendre par la population africaine. à titre d'exemple,il invite souvent les amateurs chinois de golf à participer à des concours de golf qu'il organise au nom de son journal, avant de faire don de tous les bénéfices aux pauvres locaux. ll encourage également les échanges entre les enfants chinois et africains pour qu'ils comprennent mieux leurs cultures réciproques.

        En voyant son journal se diffuser dans beaucoup de pays africains, il se sent satisfait. ? Le journal est comme mon bébé. à n'importe quel prix, je ferai tout pour qu'il s'épanouisse dans la confiance ?, conclut-il. CA

        ? lixiaoyu@chinafrica.cn

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